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"LE SIDA C'EST MON COMBAT !" vendredi 16 août 2002, par Sansy |
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Un projet de communication sur le VIH/SIDA en direction des jeunes de la ville de Conakry
ASSOCIATION "LES AMIS DU FUTUR" BP 3470 Conakry République de Guinée Tél : 26 10 58 Email : lafsante@yahoo.fr Decembre 2001 TITRE DU PROJET : “Le SIDA, c’est mon combat !” ORGANISME REQUERANT : LES AMIS DU FUTUR (LAF) ORGANISMES PARTENAIRES : GAIA VIDEO et l’AFVP (Association Française des Volontaires du Progrès) VILLE : Conakry COMMUNES : Kaloum, Dixinn, Ratoma, Matam et Matoto DATE DE CREATION DE L’ASSOCIATION : 4 mars 1998 PERSONNES DE CONTACT : Diakité Sansy KABA (Président) (012) 67 90 31 sansykaba@epals.com Mouhammed RADJI (Com. Santé) (011) 26 10 58 lafsante@yahoo.fr Eve GIOVANNINI (AFVP) (012) 69 13 84 afvp-gui@biasy.net ADRESSE : Les Amis du Futur BP 3470 Conakry – République de Guinée COUT TOTAL : 26 256 195 FG PARTICIPATION DE L’ONG : 1 470 000 FG PARTICIPATION DES PARTENAIRES : 4 809 000 FG BUDGET SOLLICITE : 19 977 195 FG DUREE : 7 mois I- TITRE DU PROJET : “Le SIDA, c'est mon combat !” II- DESCRIPTION : Longtemps sous-estimée, la réalité de l’épidémie de SIDA s’impose désormais en Guinée. Déjà marqué par une situation sanitaire et sociale difficile, le pays est confronté à la nécessité d’actions urgentes dans les domaines de l’accès aux soins et à l’information. La prévalence de l’infection sur l’étendue du territoire guinéen n’est pas encore connue mais une enquête nationale est en cours. Les seuls chiffres disponibles font état d’un taux de prévalence situé entre 1 et 2% selon le PNLS (Programme National de Lutte contre le SIDA) et 1,54% selon le “HIV Density Atlas” de 1999 (UNAIDS). Ces données peuvent apparaître faibles par rapport à la prévalence élevée des pays voisins (entre 5 et 12%) mais il faut souligner qu’elles demeurent encore largement sous-estimées étant donné la déficience de structures proposant un dépistage. Seuls les groupes à risque (transporteurs routiers, femmes libres, patients atteints d' IST), les femmes enceintes et les donneurs de sang ont fait l’objet de dépistages. Il faut noter que depuis les premiers cas décelés en 1986 en Guinée (PNLS), l’incidence du VIH ne cesse d’augmenter et qu’il ne concerne plus simplement ces groupes à risque mais toute la population guinéenne. Les données disponibles ne font état que de 9037 cas de VIH/SIDA enregistrés de 1987 au 30 Juin 2001. Si l'on ne fait rien pour prévenir ce fléau, 100000 à 130000 personnes seront infectées par le VIH/SIDA en Guinée, d'ici 2005 (PNLS). Dans le même temps, l’âge moyen des malades est passé de 39 ans en 1989 à 26 ans en 2000. Ces chiffres témoignent de la grande progression de l’épidémie chez les jeunes. De même, il faut savoir qu’une grande partie des jeunes, garçons et filles confondus, deviennent sexuellement actifs entre 15 et 19 ans. Le modèle de transmission dominant en Guinée correspond à celui de l’Afrique subsaharienne, il s’agit de la transmission hétérosexuelle. De plus, la Guinée est le dernier pays d’Afrique de l’Ouest où les séropositifs et malades craignent de se montrer au grand jour. L’expérience a pourtant prouvé que la visibilité des personnes atteintes est un préalable à une véritable prise en compte collective et individuelle du risque. De nombreuses campagnes de prévention ont été menées en Guinée mais les pratiques sexuelles ne se modifient pas du jour au lendemain et sont une composante importante de la personnalité, de l’identité et de la vie sociale. Afin de préserver une jeune génération qui représente plus de la moitié de la population guinéenne, il faut d’une part poursuivre ces campagnes de sensibilisation, et d’autre part entamer une réflexion et des actions concernant la communication SIDA en direction des jeunes. La pertinence de toute action en direction des jeunes sur la question du SIDA repose sur leur implication directe, c’est ce que se propose de réaliser ce projet. Objectif général : Impliquer les jeunes, les associations de jeunes et de santé, les personnes affectées par le VIH / SIDA dans la communication sur le SIDA en direction des jeunes. Objectifs spécifiques : Faire évoluer la perception du VIH / SIDA en donnant la parole aux personnes affectées (séropositifs, malades du SIDA, familles et personnel soignant). Dresser un état des lieux ponctuel de la réponse actuelle au VIH / SIDA en Guinée et du niveau de connaissance des jeunes de la maladie. Mobiliser les jeunes et leur créativité pour la réalisation de supports de communication SIDA en direction des jeunes. Organiser une réflexion autour de la communication SIDA en direction des jeunes. Faire une restitution des recommandations des jeunes (résultats des ateliers de travail) à l’attention des bailleurs de fonds, des décideurs, des organismes internationaux, des associations / ONG guinéennes et étrangères investies dans la lutte contre le SIDA. Stratégie de mise en œuvre : 1. Réalisation d’un film documentaire : Un documentaire sera réalisé à partir du vécu, des témoignages, de l’expression des besoins et des attentes des personnes les plus concernées par le VIH / SIDA : séropositifs, malades et leur entourage, personnel soignant et associations. Ses utilisations sont multiples : Durée approximative du documentaire : 30 minutes. Coordination : Gaïa Vidéo Assistance : FEG (Fondation Espoir Guinée) Les moyens à mettre en œuvre (cf. budget pour les détails) : Personne ressource chargée de la préparation et de la réalisation 2. Enquête sur la réponse au VIH / SIDA en Guinée : Il s’agit ici de dresser un état des lieux ponctuel de la situation du VIH / SIDA en Guinée aussi bien au niveau de la prévention (programmes déjà réalisés et résultats atteints, programmes en cours), les bailleurs de fonds et leurs axes de financements, la politique nationale et les priorités en matière de lutte contre le SIDA, la prise en charge des malades du SIDA et l’accès aux traitements. Cette enquête sera l’occasion de rencontrer un maximum d’acteurs du secteur, de les écouter et de les informer de l’action en cours. Pour se faire, un maximum de documentation sera réunie. Les éléments de cette étude serviront de base de réflexion lors des ateliers de travail. Enfin, un carnet d’adresse sera élaboré et mis à la disposition des acteurs de la lutte. Les moyens à mettre en œuvre (cf. budget pour les détails) : Les moyens humains, matériels et financiers sont entièrement pris en charge par l’AFVP durant les mois de novembre et décembre. La Volontaire AFVP consacrera au minimum deux journées par semaine à ce travail durant onze (11) semaines et bénéficiera des moyens logistiques nécessaires (véhicule, carburant, matériel de communication, outil informatique…). Une personne ressource de LAF se mobilisera sur cette enquête durant les mois de janvier et février. 3. Enquête sur la connaissance des jeunes par rapport à la maladie : Cette enquête sera l’occasion de tester la connaissance sur le SIDA des jeunes scolarisés et non scolarisés, en préambule à toute action dans leur direction. Le questionnaire mis au point se veut être volontairement simple d’accès et court afin d’être personnellement accessible à chaque jeune d’une part et d’autre part, l’analyse de ces questionnaires ne rassemblera que des informations internes au projet. L’échantillon d’enquête et les structures ciblées : L’échantillon dé l’enquête s’élève donc à 720 jeunes âgés de 10 à 25 ans Description et déroulement de l’enquête : Une demi journée de formation des enquêteurs sera réalisée avant le lancement des enquêtes. Le formateur, un sociologue à recruter, sera aussi chargé du dépouillement, du traitement et de l’analyse des enquêtes. Dans les établissements scolaires, une équipe d’enquêteurs de LAF se chargera de superviser l’enquête après avoir reçu les accords des DCE, chefs d’établissements et associations de parents d’élèves. Dans les Maisons des Jeunes, les animateurs de ces Maisons se chargeront de superviser l’enquête avec l’appui de la Volontaire AFVP-Jeunesse. Dans les foyers Enfants des Rues, Médecins Sans Frontières (MSF) se chargera de superviser l’enquête. A l’Université, une équipe d’enquêteurs de LAF se chargera de superviser l’enquête. Fiche de questionnaire proposée : Les moyens à mettre en œuvre (cf. budget pour les détails) : Moyens humains : 13 personnes Moyens matériels : les photocopies des 720 questionnaires Moyens financiers : Ils concernent les frais de transport des enquêteurs qui se rendront à la formation, les frais de transport de l’équipe d’enquêteurs évoluant dans les établissements scolaires (pour les autres structures, les enquêteurs sont déjà sur place), les frais de secrétariat pour le traitement des enquêtes et la rémunération du sociologue chargé de la formation et de l’analyse des questionnaires. 4. Les Journées d’Animation SIDA : Les journées d’animation visent à faire réaliser des supports de communication SIDA et mener des activités culturelles par et en direction des jeunes sur les deux thèmes suivants : Prise de conscience des comportements à risque (prévention) Cette activité concerne 15 établissements scolaires et 3 Maisons des jeunes à Conakry. Elle touchera 5000 jeunes scolarisés âgés de 12 à 25 ans et 2000 jeunes fréquentant les Maisons des jeunes, âgés de 15 à 25 ans. Les établissements scolaires ciblés : Les cinq communes de la capitale sont concernées avec trois établissements par commune dont deux collèges et un Lycée. Les Maisons des Jeunes ciblées : Description et déroulement de l’activité : Phase 1 (décembre – janvier ) : Information dans les lieux ciblés et prise de contact avec les partenaires et autorités. Phase 2 (février – avril ) : Préparation des Journées d’Animation SIDA dans les structures ciblées Février : désignation d’un animateur dans chaque établissement et formation de ces 18 animateurs durant deux journées sur le SIDA, les techniques d’animation et les jeux éducatifs. Mise en place d' un club santé dans chaque établissement. Information auprès des jeunes des structures et mobilisation sur l'activité du projet. Mars/Avril : Réalisation des supports et création par les jeunes avec l’aide des animateurs. Les jeunes peuvent réaliser des créations et supports dans les catégories suivantes Catégorie musique : chant, composition musicale. La réalisation doit avoir une durée maximum de 5 minutes Catégorie spectacle : théâtre, sketches, contes, chronique radio ou télévision… La réalisation doit avoir une durée comprise entre 5 et 30 minutes Catégorie image : dessins, affiches, bande dessinée… La réalisation ne doit pas excéder en taille plus de 2 feuilles A3 Catégorie écriture : nouvelle, récit, poésie, texte… La réalisation ne doit pas excéder deux pages (sauf nouvelle et récit maximum 20 pages) Début Avril : constitution des 5 jurys (un par commune). Composition des jurys : 2 représentants des associations de jeunes, un représentant d’une association de lutte contre le SIDA, un représentant du Programme National de Lutte contre le SIDA, un chargé d’IEC (OSFAM-PSI, MSF,USAID…) Phase 3 (Avril) : Journées d’Animation et élection des meilleurs supports et création Un appel sera lancé à la participation bénévole des artistes de Conakry pour les Journées d’Animation. Le jury circule dans les différents établissements de la commune, élit un lauréat par catégorie et par structure. A la fin de sa tournée il élit pour chaque catégorie le gagnant de la commune (parmi les lauréats), ceux-ci se voient attribuer des prix (les prix sont à déterminer et à négocier avec les partenaires du projet) Les moyens à mettre en œuvre (cf. budget pour les détails) : Moyens humains : Un formateur : Il se charge d’animer les deux journées de formation pour les animateurs 18 animateurs : L’animateur se charge dans chaque établissement : Les journées d’animation sur le SIDA sont réalisées avec l’appui de : Coordination : Les Amis du Futur Association Française des Volontaires du Progrès Moyens matériels : Ils rassemblent toutes les fournitures nécessaires à la formation des animateurs ainsi que celles mises à disposition des jeunes pour réaliser leurs supports (papier, peinture, pinceaux, marqueurs, feutres, etc.) Moyens financiers : Ils rassemblent les frais de formation, de transport, de suivi et de coordination. 5. Atelier de travail : Il s’agit d’organiser une réflexion autour de la communication SIDA en direction des jeunes, s’appuyant sur les conclusions des activités menées durant le projet. Afin d’organiser cette journée, le projet nécessitera la location d’une salle à définir. Ce sont les jeunes ciblés par le projet (les 20 lauréats des Journées d’Animation SIDA et les 18 représentants de chaque structure : établissements scolaires et Maisons des Jeunes) qui sont ciblés pour mener à bien cette réflexion. Lors de l’atelier de travail, une présentation du travail de l’année (résultats des enquêtes de terrain, Journées d’Animation SIDA, bulletin, etc) sera faite. Puis, des travaux en sous groupes seront organisés pendant 2 heures sur les recommandations en matière de communication en direction des jeunes. Enfin, une séance de restitution en plénière permettra de connaître les résultats de ces travaux. Les moyens à mettre en œuvre (cf. budget pour les détails) : Moyens humains : 2 animateurs Moyens matériels : Ils rassemblent le matériel de travail pour les jeunes (sous chemises, stylos, papier, tableau paper board, rouleau flip sharp, marqueurs) Moyens financiers : Ils concernent la rémunération des animateurs pour la préparation et le déroulement de cette journée, les photocopies des documents de base pour l’ensemble des participants, les repas et boissons pour la pause de l’atelier, les frais de transport ainsi que les frais de location d’une salle. 6. Restitution des travaux : Il s’agit de faire une restitution des recommandations des jeunes (résultats des ateliers de travail) à l’attention des bailleurs de fonds, des décideurs, des organismes internationaux, des associations / ONG guinéennes et étrangères investies dans la lutte contre le SIDA. Cette restitution se déroulera dans la salle de spectacle du CCFG (Centre Culturel Franco-Guinéen) et sera l’occasion de présenter au public les créations des lauréats des Journées d’Animation SIDA. Les moyens à mettre en œuvre (cf. budget pour les détails) : Moyens humains : 4 animateurs de LAF et un Volontaire AFVP pour l’organisation et l’animation de la journée. M. Souleymane Niaré, infographiste au CCFG pour un appui à la réalisation des panneaux d’exposition. Moyens matériels : Mise à disposition par le CCFG de la salle de spectacle avec tous les moyens son et lumière. Moyens logistiques pour la réalisation des panneaux d'exposition (papier bristol, cartouches d'encre pour imprimante, etc.). Les fournitures des participants de la restitution. 100 enveloppes pour informer les invités de la tenue de la restitution. Moyens financiers : Ils concernent les photocopies des documents de base à fournir aux invités, les photocopies des lettres d’invitation, le remboursement des frais de transport des animateurs, les frais engagés pour la mobilisation d’une équipe télé de la RTG. 7. Communication – Suivi – Capitalisation : Bulletin de liaison : Il s’agit d’informer, de sensibiliser et de donner la parole aux jeunes sur les thèmes du SIDA ; mais aussi d’informer les acteurs et les partenaires sur la vie du projet. Enfin, le bulletin de liaison sera aussi un outil de suivi et de capitalisation. C’est un bulletin d’information (format A3 plié) et trois (3) numéros seront publiés pour couvrir la période de réalisation de l’ensemble du projet. Chaque numéro sera livré en 1000 exemplaires et distribué dans les structures ciblées : Collèges, Lycées, Université, grandes écoles, Maisons des Jeunes et partenaires du projet. Rubriques : 1- Prévention des comportements à risque : promouvoir un bon comportement sexuel. 2- Solidarité avec les personnes affectées : promouvoir un bon traitement social. 3- Jeunesse Stop Sida : faire témoigner les jeunes pour recueillir leurs sentiments sur la question du SIDA. 4- Infos générales / Santé : parler des autres problèmes de santé concernant les jeunes. 5- La vie est belle : promouvoir le préservatif et encourager son utilisation à partir des témoignages d’utilisateurs. 6- Vie du projet : faire le point sur l’évolution des travaux. Moyens à mettre en œuvre (cf. budget pour les détails) : Humains : un comité de relecture un chargé de communication. Matériels : rames de papiers A3 et A4 ; cartes téléphoniques ; consommables informatiques. Réalisation d’un documentaire sur les activités du projet : Le suivi vidéo des activités dynamisera la mise en œuvre du projet, en accompagnant et fixant ses principales étapes. Il s’agit d’un reportage vidéo suivant toutes les activités du projet et donnant la parole à la population cible sous forme d’interviews. Un document final décliné en montages thématiques sera l’outil de capitalisation de notre projet. En témoignant de la méthodologie du projet, il constituera un support pérenne pour de futurs échanges d’expériences, en Guinée et à l’extérieur. Cet outil sera également décliné en support audio. Les moyens à mettre en œuvre (cf. budget pour les détails) : Personne ressource chargée de la préparation et de la réalisation Plan de communication : Une équipe Communication sera chargée de mettre en place le plan de communication du projet par la diffusion auprès des médias et des partenaires de communiqués de presse, dossiers de presse et mise à disposition des bulletins bimestriels et des documentaires vidéo et audio. Cette équipe est chargée des relations extérieures avec les partenaires de la lutte et de les informer de l’avancement du projet. Le plan de communication assurera la visibilité du projet et sera ainsi relié à la dynamique d'ensemble en matière de lutte contre le SIDA. Les moyens à mettre en œuvre (cf. budget pour les détails) : Une équipe Communication composée de deux (2) personnes Moyens logistiques (secrétariat, déplacements, fournitures, téléphone) III- RESULTATS ATTENDUS : 1. Réalisation d'un film documentaire : 2. Enquête sur la réponse au VIH / SIDA en Guinée : 3. Enquête sur la connaissance des jeunes par rapport à la maladie : 4. Les Journées d’Animation SIDA : 5. Atelier de travail : 6. Restitution des travaux : 7. Bulletin de liaison : 8. Réalisation d’un documentaire sur les activités du projet : 9. Plan de communication : IV. CHRONOGRAMME DES ACTIVITES : DESIGNATION NOVEMBRE DECEMBRE JANVIER FEVRIER MARS AVRIL MAI 1. Réalisation du film documentaire : DESIGNATION (suite) NOVEMBRE DECEMBRE JANVIER FEVRIER MARS AVRIL MAI VI. INDICATEURS DE SUIVI ET D'EVALUATION : 1. Réalisation d'un film documentaire : 2. Enquête sur la réponse au VIH / SIDA en Guinée : 3. Enquête sur la connaissance des jeunes par rapport à la maladie : 4. Les Journées d’Animation SIDA : 5. Atelier de travail : 6. Restitution des travaux : 7. Bulletin de liaison bimestriel : 8. Réalisation d’un documentaire sur les activités du projet : 9. Plan de communication : VII. PLAN PREVISIONNEL DE DECAISSEMENT : Le décaissement se fera en trois étapes au cours du premier semestre de l'année 2002 : Mois de janvier : décaissement de 60% du montant de la subvention, soit 11 986 317 GNF. NB : dépôt obligatoire du rapport final du déroulement de toutes les activités du projet (rapport de synthèse des trois étapes) dans le délai prévu pour la fin des activités. |
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Sansy |
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